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Prendre soin de sa santé hormonale tout en douceur

30 juill. 2025
Après avoir définit la santé hormonale, nous vous proposerons des moyens psychosociaux pour vous aider à en prendre soin. Toutefois, nous ne formulerons pas de conseils médicaux, comme la prise d’hormones ou de certains aliments, car nous ne détenons pas l’expertise dans ce domaine. Nous vous invitons à consulter un·e professionnel·le de la santé si vous souhaitez en savoir davantage.
Nous tenons à souligner que l’intention de s’intéresser à la santé hormonale n’est pas de s’ajouter une charge en suivant rigoureusement son cycle, mais plutôt de le considérer comme un facteur important pouvant influencer l’humeur et la capacité à accomplir certaines tâches. Nous vous proposons donc des pistes pour nourrir un équilibre, tout en gardant en tête qu’il est normal de vivre des variations hormonales au fil d’un cycle, et qu’un équilibre constant n’est ni réaliste ni attendu.
Bouger, même juste un peu
Lorsque l’on active le cœur et nos différents muscles, le corps sécrète des hormones qui aident à réguler les déséquilibres hormonaux liés au cycle menstruel.
Tentez d’être à l’écoute de vos besoins : parfois, ce sera de marcher lentement, et d’autres fois, d’adopter un rythme plus actif. Vous êtes la meilleure personne pour savoir ce qui vous convient, ce n’est pas votre voisin·e qui croit savoir ce qui est bon pour vous !
Prioriser, comme on peut, une bonne nuit de sommeil
L’un des meilleurs moyens de s’offrir une nuit réparatrice est de porter attention à l’heure précédant le coucher. Ce moment permet au corps de « comprendre » qu’il se prépare au repos, et ainsi de sécréter des hormones favorisant le sommeil.
Par exemple, il peut être utile de terminer son repas plus tôt en soirée, afin que le système digestif soit au repos durant la nuit, ou de réduire l’exposition aux écrans, car leir lumière ralentit la sécrétion des hormones liées au sommeil.
P.S. : Il n’est pas nécessaire de vous mettre de la pression pour « bien faire ». Votre possible est suffisant. En tant que proche aidante, vous êtes dans un rôle très exigeant, qui offre souvent peu de flexibilité.
Se permettre d’en faire un peu moins
Il y a une limite à ce que l’on peut faire pour soulager ses symptômes : une part appartient à notre biologie, sur laquelle nous n’avons pas de contrôle.
Parfois, la seule solution est de se donner la permission de lâcher prise, de réduire les attentes envers soi-même pour permettre au corps et à l’esprit de récupérer… comme on peut !